Le trésor des Romanov, sur la piste des Diamants…
Dans le roman "Le Testament du Tsar", le héros Michel Trepchine, filleul du dernier des tsars de Russie Nicolas II, se voit confier peu avant l’abdication de ce dernier la régence et un trésor. « Le trésor des Romanov » qui fait encore aujourd’hui l’objet de recherches assidues de par le monde.
Peu avant de mourir le père de l’auteur lui a fait de surprenantes confidences. En les recevant, l'auteur ne se doutait pas alors que ce témoignage pourrait se révéler être une nouvelle piste pouvant mener au trésor des Romanov.
Car si les principales théories concernant le trésor se sont avérées pour certaines loufoques et pour d’autres sans issues, les informations transmises par son père semblent sérieuses au gré des recherches entreprises.
Durant près de quinze ans l’auteur a vérifié la réalité de ses confidences.Il résulte de cette enquête qu’au point de vue chronologique la plupart des faits relatés sont incontestables.
Les étapes de la quête aventureuse du filleul du Tsar de prime abord invraisemblables concordent avec les faits historiques.
S’agissant du trésor impérial, les chercheurs qui ont pu avoir accès aux archives de l’union soviétique après 1990 s’accordent pour estimer que la moitié des réserves d’or ont été accaparées par le gouvernement Bolchévique et l’autre moitié par l’Amiral Koltchac. Les deux partis l’ont dépensé pour financer leurs armées respectives durant la guerre civile.
A cet égard, là encore, le récit concorde avec les épisodes historiques, notamment le voyage de l’Amiral Koltchak aux Etats-Unis d’Amérique en Novembre 1917 où le Ministre Robert Lansing accorda effectivement une aide financière à l’Amiral garantie par l’or impérial.
La nébuleuse financière du Marquis de Villeneuve et ses partenaires internationaux semblent aussi corroborer par les investissements et les trusts des magnats de la finance, du pétrole et de l’armement à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Elle laisse à penser que les valeurs de placement à l’étranger à la date de la révolution dépassaient largement par leur montant les réserves en or du trésor impérial.
Pour ce qui concerne la collection de diamants, en revanche, mis à part ceux emportés par les membres de la famille impériale durant leur captivité et cousus dans leurs vêtements, il n’existerait pas de récits historiques concordants.
En fonction du récit original, l’hypothèse selon laquelle la collection des diamants a été cachée au Bhoutan sur un promontoire escarpé dominant la vallée de la rivière Mocchu est vraisemblable. Mais la contrée est si vaste qu’il n’a pas été possible de déterminer un endroit précis sans coordonnées géographiques.
